Comment Zara Home donne envie : le merchandising (2)
Suite de cette série avec un deuxième argument : le merchandising.
La présentation verticale des draps et linge de lit crée un réel impact visuel.
Suite de cette série avec un deuxième argument : le merchandising.
La présentation verticale des draps et linge de lit crée un réel impact visuel.
Zara Home, l'enseigne d'Inditex est forcément une enseigne complémentaire compte-tenu de son offre. Comment donne t-elle envie ?
Les magasins et la mise en scène sont au coeur du dispositif. Exemple ici à Turin.
30% : c'est la part des clients d'hypermarchés qui ont déjà renoncé à un achat pour cuse de trop longue attente en caisse, dont 13% plusieurs fois. C'est une étude IFOP/Wincor Nixdorf qui le dit dans LSA du 21/2/2013.
L''attente détruit d ela valeur imémdiatement et entraîne aussi un report vers d'autres circuits, le drive en bénéficie probablement très fortement.
Je n'ai pas l'habitude ici de parler des nombreuses conférences qui ont lieu sur le commerce.
Exception aujourd"hui avec le 1er Retail Morning de MMM.
Pourquoi en parler ?
D'abord parce que MMM est un acteur important dans tout ce qui est lié à l'observation du retail. MMM organise des voyages de veille dans tous les grands pays du commerce et j'ai eu le plaisir de voyager avec eux et de ramener quelques reportages que vous pouvez lire sur ce blog dans la "Retail Playlist"
Mais aussi, parce que le thème de cette matinée sur le cross-canal est essentiel pour le commerce d'aujourd'hui et de demain. C'est bien la combinaison des réseaux physiques et digitaux qui crée de l'intérêt pour les clients et de la valeur pour les enseignes.
Enfin, les intervenants Bertrand Petit et Etienne Alexandre de Innocherche, réseau de veille innovation creuseront le sujet en profondeur.
Pour en savoir plus c'est sur le site de MMM ici
Les Media Sociaux et la communication - Frank Rosenthal from frederic CANEVET on Vimeo.
Si vous souhaitez consulter d'autres vidéos des auteurs et contributeurs, vous pouvez vous reporter au site de Fréderic Canevet qui a réalisé mon interview et quelques autres c'est sur Conseils Marketing
Suite de la présentation du livre Medias Sociaux et B2B sous la direction de Hervé Kabla et François Laurent et dont je suis l'un des 17 contributeurs avec un chapitre dédié aux médias sociaux et à la communication et une analyse et interview sur le cas Legrand, un vrai cas d'école sur les médias sociaux.
Pour commander le livre c'est ici aux Editions Kawa
Pour en savoir plus sur le livre le site dédié
Je suis très heureux de vous commenter aujourd'hui la sortie de ce livre de Hervé Kabla et François Laurent. D'autant plus que Hervé et François ont eu la bonne idée il y a quelques mois de réunir une quinzaine de spécialistes du sujet dont je fais partie pour que chacun puisse écrire un chapitre.
Le livre est le premier en France qui traite à la fois de médias sociaux et de B2B. Il pose la question : un mariage d'amour ? Mais à en juger par les nombreux exemples cités par les auteurs et contributeurs, pas de douite que les médias sociaux et le B2B doivent fonctionner ensemble.
Après la présentation du sujet, le livre traite successivement des sujets comme la e-réputation, le contenu, la leade génération et donc l'approche commerciale et les réseaux.
Pourquoi faut-il lire ce livre ?
Parce qu'il défriche complétement le sujet
Parce que la réflexion associe différents auteurs comme notamment des juristes éminents (Gérard Haas), des blogeurs reconnus (Fréderic Canevet par exemple), des spécialistes du contenu (Daniel Bo), des spécialistes du marketing client (Yan Claeyssen) et tous les autres que je ne cite pas ici.
Parce que chaque auteur/contributeur a réalisé une interview sur le sujet traité et que les témoignages apportent encore plus de diversité et d'exhaustivité au projet.
Parce que le livre a été initié, dirigé, coordonné, piloté par Hervé Kabla de Blog Angels, directeur général de Be Angels et François Laurent qui est auteur de plusieurs livres sur le marketing 2.0 et co-président de l'Adetem
Pour commander le livre c'est ici aux Editions Kawa
Pour en savoir plus sur le livre le site dédié
Pour ma part, j'ai écrit le chapitre sur médias sociaux et communication qui traite de l'utilisation des médias sociaux dans la stratégie de communication des entreprises B2B et le cas que j'ai étudié avec interview du directeur de la communication est Legrand. L'entreprise, fleuron de l'industrie française, est en effet un vrai cas d'école dans l'utilisation des médias sociaux.
Pour mes 3 autres livres, Value for money sur l'image-prix, Image-prix mode d'emploi toujours sur l'image-prix mais épuisé et Mieux piloter sa relation client, ils sont disponibles ici
Nouvel article de cette série réalisée en partenariat avec Cosmétique Mag.
Pour retrouver les précédents numéros, vous pouvez cliquer sur la catégorie "benchmark distribution."
Aujourd'hui réflexions sur l'implication et la participation des consommateurs.
Rubrique réalisée en partenariat avec
Intéressante étude de l'Observatoire MDD publiée à l'occasion du salon MDD Expo.
L'étude précise notamment le poids des MDD dans les différents pays :
Pour le paiement avec smartphones, on va doubler en France de 10 à 20% des Français et plus que doubler dans les 12 pays européens de 13 à 30%. Mais même avec 20% des utilisateurs, le smartphone va devenir un moyen de paiement conséquent !
Dans les années qui viennent, comment vont évoluer les raisons de choisir une marque ?
La garantie du bon rapport qualité/prix qui arrive en première position laisse une grand eplace à la "Value for money" et à l'argumentation sur les produits en magasins.
Comment les Français utilisent les comparateurs de prix ?
Ce qui est intéressant avec ces chiffres est de voir que l'utilisation est massivement répandue en Europe et que la progression va continuer même si les niveaux atteints sont déjà très élevés.
Une réelle tendance dans les 12 pays européens étudiés, la volonté est là, les offres aussi, encore faut-il les valoriser et plus que jamais ce sera l'ère de la value for money.
Acheter moins mais mieux, l'étude nous renseigne pays par pays sur cette tendance. La France se situe à 59% un peu en dessous de la moyenne européenne. Un chiffre à méditer par les distributeurs.
A l'occasion de la sortie de l'Observatoire Cetelem, toute la semaine sera consacrée à cette passionnante étude qui chaque année a le mérite de comparer la France avec 11 autres pays européens.
Cette édition 2013 est consacrée à la consommation alternative.
Je suis très heureux d'accueillir aujourd'hui Flavien Neuvy, directeur de l'Observatoire Cetelem, un observatoire attentif et averti des comportements de consommation pour nous commenter la sortie de cette étude.
1/ Bonjour, pouvez-vous vous présenter aux lecteurs de ce blog ?
Je travaille au Cetelem depuis bientôt 20 ans. J’ai occupé de multiples fonctions opérationnelles tout au long de mon parcours professionnel. Depuis 5 ans je dirige L’Observatoire Cetelem. Nous réalisons chaque année plusieurs études afin de décrypter les attentes des consommateurs et leurs comportements d’achat. Notre objectif est également de faire des études prospectives afin d’anticiper les grandes évolutions qui feront la consommation de demain. L’Observatoire Cetelem existe depuis bientôt 30 ans et, sur ces 10 dernières années, nous avons interrogés plus de 100 000 Européens par le biais d’enquêtes quantitatives ou qualitatives.
2/ Concernant l’importante étude (l’Observatoire Cetelem 2013) que vous avez mené dans 12 pays européens, pouvez-vous nous préciser les points qui vous ont le plus marqué ?
D’abord, sans surprise, le moral des Européens touche un point bas. Nous vivons dans un contexte de crise généralisée depuis 5 ans et les Européens qui sont en mode « gestion de crise » depuis 2008 sont fatigués. Fatigués avec un moral qui est affecté mais également fatigués financièrement. Un pouvoir d’achat orienté à la baisse et des politiques d’ajustement budgétaire en cours dans la plupart des pays européens poussent les consommateurs à faire preuve de beaucoup de prudence. Les intentions de consommer reculent fortement cette année et, à l’inverse, les intentions d’épargne sont en hausse. Par ailleurs, notre étude révèle que l’essentiel des arbitrages possibles ont déjà été faits. Du coup, face à cette crise qui dure, les Européens doivent trouver de nouvelles solutions pour maintenir leur niveau de consommation. La consommation alternative est incontestablement une de ces solutions et les Européens y ont de plus en plus recours. La montée en puissance de l’Internet mobile permet une accélération de la consommation alternative. Cette tendance est durable.
3/ Un des principaux intérêts de l’étude réside dans sa capacité à comparer la France avec la moyenne européenne et les différents pays européens, quelles sont les particularités du consommateur français en 2013 ?
Le consommateur français est plus prudent, plus attentiste. Le taux d’épargne des Français est l’un des plus élevés au monde. Par ailleurs, les Français sont également très sensibles aux aspects sociaux et environnementaux de leur consommation. Ils veulent « consommer responsable », mais cette volonté vient souvent se heurter à une réalité économique difficile qui les contraint à réaliser des arbitrages dans leurs achats au quotidien.
4/ Vous indiquez dans votre édito que nous sommes au tout début de la consommation collaborative, pouvez-vous nous indiquer quels sont les premiers signes forts concernant la France ?
La croissance du marché de l’occasion est exponentielle et traduit parfaitement cette volonté de consommer différemment, moins cher et plus responsable. Nous voyons aussi le développement de sites dédiés au troc, à la location entre particuliers. Même la location de voitures entre particuliers est en pleine expansion ! La mobilité alternative passe aussi par le covoiturage dont le succès est incontestable aujourd’hui. Parmi les nouvelles tendances de consommation alternative, on découvre aussi la volonté grandissante des consommateurs de se fournir directement auprès du producteur. Il pense ainsi réaliser des économies et surtout, il a le sentiment d’aider le producteur en lui évitant de passer par un distributeur. En clair, il a l’impression de consommer responsable. On peut également penser que dans les prochaines années, les consommateurs seront plus sensibles à la notion d’usage des biens plutôt qu’à la notion de propriété. La location marche très bien pour l’automobile ou du matériel de sport (comme les skis) mais tout reste à faire pour les autres marchés.
5/ Votre étude (comme toutes les études de référence) montre beaucoup de pessimisme du consommateur Français, quels sont malgré tout selon vous les points positifs, motifs ou raisons d’espérer ?
Il y a un point très important : si les Français attribuent une note de 4,1/10 à la situation de la France, ils s’attribuent en moyenne une note de 5,3/ quand on leur demande d’évaluer leur situation personnelle. Il y a donc un écart très important entre une vision très sombre de la situation de notre pays et une situation personnelle jugée largement meilleure. Enfin, même si le contexte économique est compliqué, notre pays dispose d’atouts considérables qu’on oublie peut-être trop souvent de mettre en avant.
Une étude IFOP/Atelier BNP Paribas réalisée en novembre 2012 auprès de 1011 personns révèlent quelques tendances.
Pour 53% d'entre eux, l'innovation en magasin a été un facteur de déclenchement d'achat, pour 74% des interrogés, l'évolution du commerce est inévitable, 37% pensent que les points de vente deviendront des lieux dédiés au retrait des produits commandés sur le net, 34% imaginent des espaces d'informations et de démonstrations et 23% affirment que l'on pourra se passer de l'achat en boutique.
Ce Centre situé dans l'hôtel mythique le Caesars Palace est un des plus grands de Las Vegas avec 160 magasins. Ce centre est exploité par Simon Malls, le leader américain des centres commerciaux.
Le décor est kitch..;comme Las Vegas mais très réussi
Pourquoi The Forum Shops est en tête de la Retail Playlist de Las Vegas :
parce que tout est fait pour faire rester le visiteur, restaurants thématiques, air conditionné parfaitement réglé et surtout un décor somptueux. Enfin, si le centre a déjà une vingtaine d'années, il est agrandi et rénové et dispose d'un des meilleurs ratios américains de rentabilité au mètre carré.
En partenariat avec LSA