Quelques réflexions sur Virgin

Publié le par Frank Rosenthal

Les lecteurs de Retail-distribution peuvent ici retrouver mon interview sur Virgin accordée à Marketing Magazine et sa newsletter hebdomadaire e-marketing


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Publié dans Analyse

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On ne peut incriminer un marché (digitalisation de la musique par exemple) pour justifier de la chute d'une enseigne emblématique. La grande force d'un distributeur résidera toujours dans sa<br /> capacité à rebondir en développant des marchés porteurs, quitte à changer complètement la mission initiale de l'enseigne : l'hyper a foncé dans les produits hard discount et dans le drive, la Fnac<br /> a ouvert des rayons papeterie et appareils ménagers, Truffaut s'est doté de grandes librairies sur le jardin, Darty propose des cuisines. Mais qui est aux commandes de Virgin ? Un commerçant<br /> visionnaire prompt à rebondir sur d'autres marchés ou une entreprise dont la vocation n'est pas d'assurer la pérennité d'une enseigne de distribution ? Parfois, cela peut coûter très cher, à<br /> l'entreprise propriétaire et aux 1.000 salariés, de grands passionnés pour beaucoup d'entre eux. C'est du gâchis ! Je pleure la chute de Virgin.
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