Leclerc, les magasins de la crise ?
Un résumé des déclarations de Michel-Edouard Leclerc, invité récent le 4 septembre, de l'Homme du Jour sur Europe 1 avec Marc-Olivier Fogiel :
"Oui, on sent la crise et paradoxalement, ça nous sert, nous sommes l'enseigne de distribution qui marche le mieux, on a fait +5% de croissance en 2008, ce qui nous a permis de créer 2500 emplois et cette année, nous sommes les magasins de la crise, incontestablement. La consommation change, le prix est devenu vraiment l'item numéro 1, le critère d'achat numéro 1 pour les Français..."
"Nous avons énormément dégradé nos marges. L'année dernière, nos marges étaient de 1,8% net avant impôts."
"Il n y a aucune raison que le bio soit aussi cher. Notre combat va être d'amener le bio comme le commerce équitable à des prix plus décents. Je veux faire des Centres Leclerc le leader du bio en Europe."
"La rentrée, je la sens fadasse ! L'impact sur l'économie réelle est encore devant nous. Sur le front des prix, sur le front du pouvoir d'achat, on va répondre présent. Les entreprises qui ne seront pas agressives commercialement, qui ne seront pas moins chères, qui ne chercheront pas à répondre aux problèmes de pouvoir d'achat, dégageront."
Vous pouvez donner votre avis, comme maintenant régulièrement pour la plupart des "Grandes Questions"
"Oui, on sent la crise et paradoxalement, ça nous sert, nous sommes l'enseigne de distribution qui marche le mieux, on a fait +5% de croissance en 2008, ce qui nous a permis de créer 2500 emplois et cette année, nous sommes les magasins de la crise, incontestablement. La consommation change, le prix est devenu vraiment l'item numéro 1, le critère d'achat numéro 1 pour les Français..."
"Nous avons énormément dégradé nos marges. L'année dernière, nos marges étaient de 1,8% net avant impôts."
"Il n y a aucune raison que le bio soit aussi cher. Notre combat va être d'amener le bio comme le commerce équitable à des prix plus décents. Je veux faire des Centres Leclerc le leader du bio en Europe."
"La rentrée, je la sens fadasse ! L'impact sur l'économie réelle est encore devant nous. Sur le front des prix, sur le front du pouvoir d'achat, on va répondre présent. Les entreprises qui ne seront pas agressives commercialement, qui ne seront pas moins chères, qui ne chercheront pas à répondre aux problèmes de pouvoir d'achat, dégageront."
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